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Un climat économique incertain porte sur les investissements
Selon un vieux dicton, c'est comme de l'argent; Il est difficile à gagner et facile à perdre. Quelque chose de semblable se passe en Argentine, qui se heurte à une perte de crédibilité chez les investisseurs locaux et étrangers, ce qui se traduit par une baisse des entrées de capitaux par rapport à d'autres pays voisins comme le Brésil et le Chili. Selon la CEPAL (Commission économique pour l'Amérique latine et les Caraïbes), l'investissement direct étranger (IDE) en Argentine s'est élevé à 12 milliards de dollars EU en 2012, à l'exception de l'IDE de 65 milliards de dollars au Brésil, de 30 milliards de dollars au Chili et de 16 milliards de dollars US en Colombie.
Au cours du premier trimestre de 2013, le Chili a reçu 87% de plus d'investissements étrangers qu'au cours de la même période de l'année précédente, selon la banque centrale du pays. Au cours de ce trimestre, l'investissement étranger direct au Chili s'est élevé à 9,113 milliards de dollars américains, contre 4,87 milliards de dollars américains au cours des trois derniers mois de 2012.
En Argentine, en revanche, l'entreprise minière brésilienne Vale a annoncé en mars dernier qu'elle quittait le pays, malgré un investissement initial de 5,replica bracelet cartier love,9 milliards de dollars US dans son usine de Rio Colorado à Mendoza. Selon Murilo Ferreira, PDG de Vale, et les variations des taux de change ont augmenté le coût de l'usine à près de 11 milliards de dollars américains, soit près du double du montant de l'estimation initiale.
Les économistes du secteur privé estiment que l'inflation en Argentine cette année sera inférieure à 25%, tandis que l'écart entre le taux de change du dollar officiel et le taux du marché noir dépasse 74% un taux formel de 5.22 à l'autre par rapport à un taux informel de 9.15 à une. Cette disparité du taux de change s'est accélérée lorsque le gouvernement a imposé l'achat de dollars en octobre dernier. C'est-à-dire qu'il interdit l'achat de la monnaie étrangère sauf pour les voyages à l'étranger. La mesure a abouti à la fuite des capitaux de l'Argentine pour un montant de US $ 80 milliards. Les fonds ont été versés dans des comptes étrangers, des coffres-forts et ont été placés sous des matelas en raison d'un manque de confiance dans l'économie et le gouvernement argentin.
Suite aux traces de Vale, d'autres entreprises brésiliennes se sont également retirées de l'Argentine, comme l'entreprise de construction Andrade Gutierrez, qui entreprendrait un projet de terminal portuaire à Bahia Blanca pour le transport de potassium et le fabricant de robinetterie Decca Piazza, qui a arrêté Fabrication dans le pays après 125 ans d'activité là-bas.
D'autres entreprises qui ont emballé leurs bagages incluent récemment les détaillants de luxe Calvin Klein Underwear et Fundi, ainsi que Louis Vuitton, Escada, Ermenegildo Zegna, Yves Saint Laurent et Cartier. Dans ces cas, la principale raison était la restriction des importations imposée pour protéger les producteurs de textiles locaux.
Sont diverses raisons pour lesquelles l'Argentine est moins attrayante de nos jours, explique Edgardo Bindelli, directeur du programme de commerce international de l'UMSA, l'Université du Musée social argentin. Bindelli note que la hausse des coûts en dollars est un facteur qui peut influencer certaines entreprises plus que d'autres, surtout si ce sont des projets à long terme qui ont des besoins pour des investissements majeurs, comme dans le cas de l'exploitation minière. En ce qui concerne les autres industries telles que les produits pharmaceutiques, sont plus troublés par les arrêts dans les services publics; Tandis que pour d'autres, comme les vêtements et les automobiles à prix élevé,replique love bracelet, ce sont leurs problèmes d'importation, ajoute-t-il. En outre, dans le modèle économique actuel de l'administration de Cristina Fern de Kirchner, les entreprises ne peuvent pas retourner les dividendes et les bénéfices dans leur pays d'origine et font face à de nombreux défis pour l'importation en raison de l'objectif du gouvernement de protéger les industries nationales.
Selon Marcelo Celani, directeur du programme d'économie économique et d'administration des entreprises de l'Université Torcuato Di Tella (UTDT), la situation macroéconomique entraîne une telle distorsion. Par exemple,love bracelet faux cartier, le coût de l'électricité continue d'être au même niveau qu'en 2000 parce qu'il est subventionné. En outre, il existe une distorsion du taux de change qui empêche les investissements d'être rentables. Vale en est un exemple clair. À son avis, cela a un impact encore plus grave sur El Tejar, la plus grande entreprise agroalimentaire en Argentine, c'est sur Vale. C'est parce que la plus grande société céréalière El Tejar est active en Uruguay et au Brésil,bracelet love replica, mais elle ne produit pas en Argentine. En conséquence, les gens El Tejar à d'autres endroits où il peut y avoir moins de rentabilité, mais les règles du jeu sont plus claires, note-t-elle.
Bien que chaque secteur industriel soit confronté à différents pièges lorsqu'il est temps de fabriquer, pour les entreprises qui doivent penser à long terme, l'instabilité des règles du jeu nuit au climat d'investissement. Celani note que l'Argentine n'a pas été très friands de maintenir [les règles], et donc avec des projets qui prennent beaucoup de temps pour mûrir, comme Vale, tout changement dans les règles du capital, comme le rapatriement des dividendes ainsi que Toute augmentation d'impôt, finit par rendre ces projets beaucoup plus risqués. La méfiance répandue dans le gouvernement a des racines politiques. Eduardo Fracchia, directeur de l'économie chez IAE, note qu'il existe des mesures qui ont eu une influence notable sur le climat d'investissement. Il s'agit notamment de l'AFJP, Argentine retraite et fonds de pension, en 2008; Les changements dans l'organigramme de la Banque centrale, qui ont affecté la confiance dans les investissements (parce qu'ils ont mis leur indépendance dans le doute); L'expropriation du géant énergétique espagnol Repsol l'année dernière, et la façon dont il a été repris, ainsi que le retard dans le paiement de la dette en défaut, ce qui a entraîné un risque pays plus élevé.
Ajouter à tout cela la récente réforme du Conseil des magistrats, l'entité chargée de la nomination des juges et de les retirer du bureau. À cet égard, les restrictions dans les mesures de mise en garde contre l'État approuvées par le gouvernement de Cristina Kirchner limitent la possibilité de prendre des mesures contre le pouvoir au pouvoir. Selon Fracchia, cette situation a été considérée positivement par les Nations Unies elles-mêmes. Fracchia explique que Gabriela Knaul, une rapporteuse spéciale des Nations Unies néo-brésilienne, a commenté récemment qu'il existe un risque potentiel de destruction de l'indépendance de la magistrature argentine.
Le manque d'investissement dans l'énergie et l'infrastructure par le gouvernement est une autre complication dans cette situation. Depuis 2003, lorsque la fin du président Nestor Kirchner a pris ses fonctions, la capacité d'électricité du pays n'a pas augmenté malgré le fait que l'économie a connu une croissance annuelle de 8%, et qu'il y a eu une forte consommation de produits tels que les climatiseurs. Mondino note, l'ordre de produire, vous devez connaître la technologie, le bon personnel et suffisamment d'énergie, ce qui a été extrêmement limité pendant au moins cinq ans. Ils n'ont même pas construit des ponts, des routes ou des ports afin de réduire les coûts de transport et de logistique. Année, l'Argentine a importé 4,6 milliards de dollars US de gaz, l'équivalent de 37% de sa balance commerciale, qui est l'indicateur macroéconomique que le gouvernement étudie afin de déterminer combien de dollars seront disponibles et à quel point il doit persister dans Exerçant ses restrictions sur les changes. Selon Ernesto O, directeur du programme d'études supérieures en économie appliquée à l'UCA (Université catholique argentine), le moment, la rareté des hydrocarbures est compensée par les importations, mais la tendance à la baisse des entrées de devises [en raison du vol des Dollars] ouvre plus de questions sur l'approvisionnement futur en hydrocarbures, étant donné que ces intrants sont essentiels à la production. Sur l'emploi
Cette année, l'économie argentine augmentera de 3,5%, selon la CEPALC, ce qui est une prévision plus basse que sa projection antérieure de 3,9%. Ce déclin de l'activité signifie, entre autres, un ajustement de l'emploi à plus long terme. L'économie ne se développe pas, puis les ventes stagnent et l'emploi reste le même ou tombe. C'est un processus lent, mais en un an et demi, vous pouvez le sentir, note O Celani, les données n'offrent pas de bonnes nouvelles. Mais la situation n'est pas tragique, alors que de nouveaux emplois ne sont pas créés, ceux qui existent sont maintenus. Il ajoute qu'il est encore à un niveau élevé, et il n'y a pas de pertes importantes dans les sources de travail. Les inconnus ont quatre ou cinq ans d'avance, alors qu'il n'y a pas de croissance nette de l'emploi car, en plus, les entreprises travaillent à leur capacité maximale. Le fait que les entreprises sont pleinement actives et ne peut pas élargir leurs effectifs avec de nouveaux investissements montre que la politique de protection de l'industrie nationale n'a pas été une réussite. Est un mythe, dit UCEMA Mondino. N'a pas poussé l'industrie domestique, mais elle a interdit la concurrence sans moderniser ni capitaliser l'une des industries. Fracchia note que dans la province de Tierra del Fuego, les téléphones et les télévisions sont assemblés localement parce que l'industrie est protégée par le gouvernement. Ce qu'ils obtiennent, ce sont des téléphones qui ne sont pas aussi modernes et plus chers que ceux vendus à l'étranger. La même chose se produit dans les secteurs du textile, du jouet et de la machinerie. Une plus grande protection a stimulé la production industrielle, mais elle l'a fait avec une inefficacité claire, dit Fracchia.
À cet égard, Mondino note que les pièces automobiles sont plus chères en Argentine qu'ailleurs en raison de l'impossibilité de créer une chaîne de valeur sans événements imprévisibles. À son avis, l'efficacité a été affectée par l'incapacité de résoudre les grèves ou le piquetage ou le manque de carburant diesel. Il n'y a pas assez d'importations, donc les producteurs doivent payer deux fois le taux de fret habituel parce qu'il y a suffisamment de conteneurs. Des coûts les plus remarquables sont les salaires, qui résultent des négociations conjointes chaque année mais qui n'ont pas encore été fixés pour cette année. Les syndicats demandent une augmentation de salaire moyenne de 25% à 30%. Le problème est que le taux d'inflation augmente plus rapidement que la valeur du dollar. Mai 2009, un dollar valait 3,71 pesos, mais aujourd'hui, il est de 5,22 pesos, ce qui représente une augmentation de 40%. Mais les salaires ont continué de croître avec une inflation moyenne de 125% [ce qui représente un taux annuel de 25% depuis 2009], note Bindelli.
Une autre phrase populaire est appliquée au cas argentin: les eaux offrent des possibilités aux pêcheurs. Selon Mondino, le contexte actuel n'empêche pas les entrepreneurs locaux du pays qui sont proches de ceux qui sont au pouvoir, tels que Crist L qui a investi dans les casinos, les navires, les moyens de communication, les carburants et la nourriture. Le concept d'un conglomérat formé par 12 entreprises ou plus dans différents secteurs ne s'applique plus [ailleurs] au monde, mais il se développe en Argentine et ils sont les amis du pouvoir. Ces entreprises se développent de manière horizontale, sous une forme directe, et cela procure une inefficacité parce que vous pouvez tout savoir à la fois, note-t-il.
D'autre part, ajoute O les entreprises chinoises et arabes arrivent également en Argentine, avec pour expansion, et elles recherchent des marchés qui ont une offre d'entreprises. Cette année, par exemple, les 103 branches de l'ancienne Standard Bank ont été achetées par l'entité chinoise ICBS (Industrial and Commercial Bank of China), qui a acquis 80% des opérations financières de Standard Bank.
Binelli croit qu'il y aura toujours quelqu'un intéressé à investir; Cela dépend seulement de l'entreprise et du risque qu'elles vont prendre en compte. Disaient, en raison du problème avec YPF et Repsol, qu'il serait impossible pour une compagnie pétrolière qui voulait investir en Argentine, et nous voyons que ce n'est pas comme ça. Il existe plusieurs entreprises argentines et étrangères qui explorent des possibilités d'association entre elles, note-t-il.
Néanmoins, si le climat d'investissement en Argentine doit s'améliorer à l'avenir, dit Fracchia, le gouvernement devra envoyer tous les signaux, sur la transparence du pouvoir législatif et judiciaire; La fiabilité de son cadre réglementaire; Et la baisse de l'inflation. Cela parce que toute cette agitation dans le système économique prend la place aux investissements réels. Il est très important de faire des efforts plus solides en matière d'infrastructure et d'éducation. Plus d'innovation est essentielle pour créer un système qui a plus de productivité et une plus grande efficacité. Ajoute: l'économie est un web, et lorsque vous touchez une partie, tout vibre. Vous devez commencer à être cohérent, comme le disent les livres. Il devrait y avoir moins de restrictions, et ces [restrictions] qui restent doivent être réparées afin que le marché puisse continuer et s'adapter.
Selon un vieux dicton, c'est comme de l'argent; Il est difficile à gagner et facile à perdre. Quelque chose de semblable se passe en Argentine, qui se heurte à une perte de crédibilité chez les investisseurs locaux et étrangers, ce qui se traduit par une baisse des entrées de capitaux par rapport à d'autres pays voisins comme le Brésil et le Chili. Selon la CEPAL (Commission économique pour l'Amérique latine et les Caraïbes), l'investissement direct étranger (IDE) en Argentine s'est élevé à 12 milliards de dollars EU en 2012, à l'exception de l'IDE de 65 milliards de dollars au Brésil, de 30 milliards de dollars au Chili et de 16 milliards de dollars US en Colombie.
Au cours du premier trimestre de 2013, le Chili a reçu 87% de plus d'investissements étrangers qu'au cours de la même période de l'année précédente, selon la banque centrale du pays. Au cours de ce trimestre, l'investissement étranger direct au Chili s'est élevé à 9,113 milliards de dollars américains, contre 4,87 milliards de dollars américains au cours des trois derniers mois de 2012.
En Argentine, en revanche, l'entreprise minière brésilienne Vale a annoncé en mars dernier qu'elle quittait le pays, malgré un investissement initial de 5,replica bracelet cartier love,9 milliards de dollars US dans son usine de Rio Colorado à Mendoza. Selon Murilo Ferreira, PDG de Vale, et les variations des taux de change ont augmenté le coût de l'usine à près de 11 milliards de dollars américains, soit près du double du montant de l'estimation initiale.
Les économistes du secteur privé estiment que l'inflation en Argentine cette année sera inférieure à 25%, tandis que l'écart entre le taux de change du dollar officiel et le taux du marché noir dépasse 74% un taux formel de 5.22 à l'autre par rapport à un taux informel de 9.15 à une. Cette disparité du taux de change s'est accélérée lorsque le gouvernement a imposé l'achat de dollars en octobre dernier. C'est-à-dire qu'il interdit l'achat de la monnaie étrangère sauf pour les voyages à l'étranger. La mesure a abouti à la fuite des capitaux de l'Argentine pour un montant de US $ 80 milliards. Les fonds ont été versés dans des comptes étrangers, des coffres-forts et ont été placés sous des matelas en raison d'un manque de confiance dans l'économie et le gouvernement argentin.
Suite aux traces de Vale, d'autres entreprises brésiliennes se sont également retirées de l'Argentine, comme l'entreprise de construction Andrade Gutierrez, qui entreprendrait un projet de terminal portuaire à Bahia Blanca pour le transport de potassium et le fabricant de robinetterie Decca Piazza, qui a arrêté Fabrication dans le pays après 125 ans d'activité là-bas.
D'autres entreprises qui ont emballé leurs bagages incluent récemment les détaillants de luxe Calvin Klein Underwear et Fundi, ainsi que Louis Vuitton, Escada, Ermenegildo Zegna, Yves Saint Laurent et Cartier. Dans ces cas, la principale raison était la restriction des importations imposée pour protéger les producteurs de textiles locaux.
Sont diverses raisons pour lesquelles l'Argentine est moins attrayante de nos jours, explique Edgardo Bindelli, directeur du programme de commerce international de l'UMSA, l'Université du Musée social argentin. Bindelli note que la hausse des coûts en dollars est un facteur qui peut influencer certaines entreprises plus que d'autres, surtout si ce sont des projets à long terme qui ont des besoins pour des investissements majeurs, comme dans le cas de l'exploitation minière. En ce qui concerne les autres industries telles que les produits pharmaceutiques, sont plus troublés par les arrêts dans les services publics; Tandis que pour d'autres, comme les vêtements et les automobiles à prix élevé,replique love bracelet, ce sont leurs problèmes d'importation, ajoute-t-il. En outre, dans le modèle économique actuel de l'administration de Cristina Fern de Kirchner, les entreprises ne peuvent pas retourner les dividendes et les bénéfices dans leur pays d'origine et font face à de nombreux défis pour l'importation en raison de l'objectif du gouvernement de protéger les industries nationales.
Selon Marcelo Celani, directeur du programme d'économie économique et d'administration des entreprises de l'Université Torcuato Di Tella (UTDT), la situation macroéconomique entraîne une telle distorsion. Par exemple,love bracelet faux cartier, le coût de l'électricité continue d'être au même niveau qu'en 2000 parce qu'il est subventionné. En outre, il existe une distorsion du taux de change qui empêche les investissements d'être rentables. Vale en est un exemple clair. À son avis, cela a un impact encore plus grave sur El Tejar, la plus grande entreprise agroalimentaire en Argentine, c'est sur Vale. C'est parce que la plus grande société céréalière El Tejar est active en Uruguay et au Brésil,bracelet love replica, mais elle ne produit pas en Argentine. En conséquence, les gens El Tejar à d'autres endroits où il peut y avoir moins de rentabilité, mais les règles du jeu sont plus claires, note-t-elle.
Bien que chaque secteur industriel soit confronté à différents pièges lorsqu'il est temps de fabriquer, pour les entreprises qui doivent penser à long terme, l'instabilité des règles du jeu nuit au climat d'investissement. Celani note que l'Argentine n'a pas été très friands de maintenir [les règles], et donc avec des projets qui prennent beaucoup de temps pour mûrir, comme Vale, tout changement dans les règles du capital, comme le rapatriement des dividendes ainsi que Toute augmentation d'impôt, finit par rendre ces projets beaucoup plus risqués. La méfiance répandue dans le gouvernement a des racines politiques. Eduardo Fracchia, directeur de l'économie chez IAE, note qu'il existe des mesures qui ont eu une influence notable sur le climat d'investissement. Il s'agit notamment de l'AFJP, Argentine retraite et fonds de pension, en 2008; Les changements dans l'organigramme de la Banque centrale, qui ont affecté la confiance dans les investissements (parce qu'ils ont mis leur indépendance dans le doute); L'expropriation du géant énergétique espagnol Repsol l'année dernière, et la façon dont il a été repris, ainsi que le retard dans le paiement de la dette en défaut, ce qui a entraîné un risque pays plus élevé.
Ajouter à tout cela la récente réforme du Conseil des magistrats, l'entité chargée de la nomination des juges et de les retirer du bureau. À cet égard, les restrictions dans les mesures de mise en garde contre l'État approuvées par le gouvernement de Cristina Kirchner limitent la possibilité de prendre des mesures contre le pouvoir au pouvoir. Selon Fracchia, cette situation a été considérée positivement par les Nations Unies elles-mêmes. Fracchia explique que Gabriela Knaul, une rapporteuse spéciale des Nations Unies néo-brésilienne, a commenté récemment qu'il existe un risque potentiel de destruction de l'indépendance de la magistrature argentine.
Le manque d'investissement dans l'énergie et l'infrastructure par le gouvernement est une autre complication dans cette situation. Depuis 2003, lorsque la fin du président Nestor Kirchner a pris ses fonctions, la capacité d'électricité du pays n'a pas augmenté malgré le fait que l'économie a connu une croissance annuelle de 8%, et qu'il y a eu une forte consommation de produits tels que les climatiseurs. Mondino note, l'ordre de produire, vous devez connaître la technologie, le bon personnel et suffisamment d'énergie, ce qui a été extrêmement limité pendant au moins cinq ans. Ils n'ont même pas construit des ponts, des routes ou des ports afin de réduire les coûts de transport et de logistique. Année, l'Argentine a importé 4,6 milliards de dollars US de gaz, l'équivalent de 37% de sa balance commerciale, qui est l'indicateur macroéconomique que le gouvernement étudie afin de déterminer combien de dollars seront disponibles et à quel point il doit persister dans Exerçant ses restrictions sur les changes. Selon Ernesto O, directeur du programme d'études supérieures en économie appliquée à l'UCA (Université catholique argentine), le moment, la rareté des hydrocarbures est compensée par les importations, mais la tendance à la baisse des entrées de devises [en raison du vol des Dollars] ouvre plus de questions sur l'approvisionnement futur en hydrocarbures, étant donné que ces intrants sont essentiels à la production. Sur l'emploi
Cette année, l'économie argentine augmentera de 3,5%, selon la CEPALC, ce qui est une prévision plus basse que sa projection antérieure de 3,9%. Ce déclin de l'activité signifie, entre autres, un ajustement de l'emploi à plus long terme. L'économie ne se développe pas, puis les ventes stagnent et l'emploi reste le même ou tombe. C'est un processus lent, mais en un an et demi, vous pouvez le sentir, note O Celani, les données n'offrent pas de bonnes nouvelles. Mais la situation n'est pas tragique, alors que de nouveaux emplois ne sont pas créés, ceux qui existent sont maintenus. Il ajoute qu'il est encore à un niveau élevé, et il n'y a pas de pertes importantes dans les sources de travail. Les inconnus ont quatre ou cinq ans d'avance, alors qu'il n'y a pas de croissance nette de l'emploi car, en plus, les entreprises travaillent à leur capacité maximale. Le fait que les entreprises sont pleinement actives et ne peut pas élargir leurs effectifs avec de nouveaux investissements montre que la politique de protection de l'industrie nationale n'a pas été une réussite. Est un mythe, dit UCEMA Mondino. N'a pas poussé l'industrie domestique, mais elle a interdit la concurrence sans moderniser ni capitaliser l'une des industries. Fracchia note que dans la province de Tierra del Fuego, les téléphones et les télévisions sont assemblés localement parce que l'industrie est protégée par le gouvernement. Ce qu'ils obtiennent, ce sont des téléphones qui ne sont pas aussi modernes et plus chers que ceux vendus à l'étranger. La même chose se produit dans les secteurs du textile, du jouet et de la machinerie. Une plus grande protection a stimulé la production industrielle, mais elle l'a fait avec une inefficacité claire, dit Fracchia.
À cet égard, Mondino note que les pièces automobiles sont plus chères en Argentine qu'ailleurs en raison de l'impossibilité de créer une chaîne de valeur sans événements imprévisibles. À son avis, l'efficacité a été affectée par l'incapacité de résoudre les grèves ou le piquetage ou le manque de carburant diesel. Il n'y a pas assez d'importations, donc les producteurs doivent payer deux fois le taux de fret habituel parce qu'il y a suffisamment de conteneurs. Des coûts les plus remarquables sont les salaires, qui résultent des négociations conjointes chaque année mais qui n'ont pas encore été fixés pour cette année. Les syndicats demandent une augmentation de salaire moyenne de 25% à 30%. Le problème est que le taux d'inflation augmente plus rapidement que la valeur du dollar. Mai 2009, un dollar valait 3,71 pesos, mais aujourd'hui, il est de 5,22 pesos, ce qui représente une augmentation de 40%. Mais les salaires ont continué de croître avec une inflation moyenne de 125% [ce qui représente un taux annuel de 25% depuis 2009], note Bindelli.
Une autre phrase populaire est appliquée au cas argentin: les eaux offrent des possibilités aux pêcheurs. Selon Mondino, le contexte actuel n'empêche pas les entrepreneurs locaux du pays qui sont proches de ceux qui sont au pouvoir, tels que Crist L qui a investi dans les casinos, les navires, les moyens de communication, les carburants et la nourriture. Le concept d'un conglomérat formé par 12 entreprises ou plus dans différents secteurs ne s'applique plus [ailleurs] au monde, mais il se développe en Argentine et ils sont les amis du pouvoir. Ces entreprises se développent de manière horizontale, sous une forme directe, et cela procure une inefficacité parce que vous pouvez tout savoir à la fois, note-t-il.
D'autre part, ajoute O les entreprises chinoises et arabes arrivent également en Argentine, avec pour expansion, et elles recherchent des marchés qui ont une offre d'entreprises. Cette année, par exemple, les 103 branches de l'ancienne Standard Bank ont été achetées par l'entité chinoise ICBS (Industrial and Commercial Bank of China), qui a acquis 80% des opérations financières de Standard Bank.
Binelli croit qu'il y aura toujours quelqu'un intéressé à investir; Cela dépend seulement de l'entreprise et du risque qu'elles vont prendre en compte. Disaient, en raison du problème avec YPF et Repsol, qu'il serait impossible pour une compagnie pétrolière qui voulait investir en Argentine, et nous voyons que ce n'est pas comme ça. Il existe plusieurs entreprises argentines et étrangères qui explorent des possibilités d'association entre elles, note-t-il.
Néanmoins, si le climat d'investissement en Argentine doit s'améliorer à l'avenir, dit Fracchia, le gouvernement devra envoyer tous les signaux, sur la transparence du pouvoir législatif et judiciaire; La fiabilité de son cadre réglementaire; Et la baisse de l'inflation. Cela parce que toute cette agitation dans le système économique prend la place aux investissements réels. Il est très important de faire des efforts plus solides en matière d'infrastructure et d'éducation. Plus d'innovation est essentielle pour créer un système qui a plus de productivité et une plus grande efficacité. Ajoute: l'économie est un web, et lorsque vous touchez une partie, tout vibre. Vous devez commencer à être cohérent, comme le disent les livres. Il devrait y avoir moins de restrictions, et ces [restrictions] qui restent doivent être réparées afin que le marché puisse continuer et s'adapter.
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